L’évolution de l’habitat : de la caverne à la maison connectée
L’existence de l’habitat répond au besoin primaire de sécurité de l’Homme. Ce lieu offre la possibilité de s’isoler et de se protéger physiquement face aux prédateurs, aux intempéries ou encore aux attaques humaines.
Les exemples d’habitats dans la nature sont multiples, l’animal crée un lieu qui aura la même fonction de protection en utilisant les éléments naturels à sa disposition : arbres, trous, pierres, etc. Même s’il n’a pas les capacités de mouvements que l’homme et ne verra pas son habitat évoluer dans le temps.
Le végétal, quant à lui, ne peut pas développer d’habitat, à proprement parler, mais s’adaptera à son lieu de vie.
L’habitat est un lieu pour se reposer en toute sécurité, physiquement et moralement, pour soi et les siens. Ce lieu de vie favorise la réflexion, et va permettre à l’Homme, désormais protégé, d’évoluer. Tout ce qui est dynamique a besoin de protection.
L’habitat évolue avec les besoins de l’Homme
Au début de l’humanité, l’Homme exploite les lieux naturels : grottes, trous, cavernes. Déjà construits, ces lieux lui permettent de commencer à réfléchir pour avoir « mieux ».
L’Homme va ensuite exploiter l’environnement avec les différents matériaux à sa disposition, telles que des branches ou des peaux, pour créer un habitat d’abord nomade ce qui lui permet de suivre le gibier et de se déplacer en fonction des saisons.
Plus tard, il devient sédentaire, notamment pour l’agriculture, et se regroupe en village, il utilise alors le bois et la pierre.
A l’Antiquité, c’est la naissance des villes. L’Homme améliore l’habitat pour plus de confort et commence à utiliser la brique, la tuile, le verre, etc.
Les besoins de l’Homme de demain d’une part, amèneront l’habitat à évoluer vers l’autonomie énergétique et à une protection adaptée face aux intempéries de plus en plus violentes et d’autre part au respect de l’environnement ainsi qu’à une meilleure gestion de la production agricole.
Une position stratégique
La position stratégique de l’habitat a aussi son importance : en hauteur pour voir arriver l’ennemi (château fort), ou dans la végétation pour l’éviter (cabane dans les bois, haies). Se cacher est une caractéristique primordiale de l’habitat. La position géographique va permettre certaines possibilités pour manger, boire, etc. La plaine permet de cultiver, la mer de pêcher.
L’habitat le long des rivières favorise l’accès à l’eau et l’exploitation de celles-ci comme voies de circulation et de communication.
La montagne permet de se protéger grâce à une vision en hauteur et de développer des élevages d’animaux adaptés à ce milieu.
Il y a toujours une raison au choix de l’emplacement du lieu de vie.
Une architecture adaptée au climat et aux besoins
La maison traditionnelle s’adapte selon la géographie : dans une zone montagneuse une toiture très pentue permettra à la neige de s’évacuer facilement, au sud les toits sont quasiment plats et on privilégie une exposition et des ouvertures permettant de rafraîchir le lieu facilement. Dans des zones très humides on favorisera les lieux de vie sur pilotis.
L’architecture robuste du château permettait de se protéger des attaques, la présence des tours rendait plus efficace la riposte grâce à la vision de loin.
L’habitat collectif en immeuble répond à la problématique actuelle du manque d’espace.
Les immeubles permettent de loger un maximum de personnes dans un minimum de surface au sol.
L’habitat proposé par Betarhobeta apporte toutes les solutions technologiques nécessaires aux enjeux futurs de l’humanité :